Notre lutte contre la précarité énergétique

Comment es-tu arrivé à LogisCité et quel était ton projet en arrivant ?

Je suis arrivé ici via Pôle Emploi, ça faisait un peu plus d’un an que j’étais au chômage. L’idée c’était d’avoir un emploi qui me permette d’aller jusqu’à la retraite.

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Qu’as-tu pensé du poste d’animateur sur les économies d’eau et d’énergie ?

J’aimais bien. Je trouve que ça peut être utile pour de nombreuses personnes, les informations et les éco-gestes. Mon tempérament fait que j’aime bien ce métier. Si je n’avais pas aimé tu l’aurais su : je ne serai pas venu !

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Ce qui m’a plu également c’est de voir que je pouvais travailler en équipe. C’est quelque chose que je n’avais jamais fait. J’ai toujours travaillé avec des équipes très restreintes où tout le monde a des missions différentes et où tu es obligé de compter les uns sur les autres. Plutôt sur des métiers physiques d’ailleurs. Mais je n’avais jamais travaillé dans une grande équipe, avec des missions en binômes. Je suis content de voir qu’il n’y a pas eu d’accrochage et que je peux le faire.

Le poste de médiateur aussi est intéressant, mais il y a trop d’administratif pour moi !

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Qu’as-tu pensé de l’accompagnement à LogisCité ?

Le parcours permet d’avoir accès à une aide pour nous accompagner. Moi par exemple ça m’a permis de combler mes carences en informatique, que ce soit l’ordinateur ou le téléphone. J’avais vraiment un niveau très basique de ces deux outils. Aujourd’hui je peux me débrouiller tout seul pour les démarches administratives et autres, j’ai beaucoup plus d’acquis !

Ça m’a permis également de faire des recherches sur ce que je veux faire par la suite, de prendre des contacts, par exemple chez des ONG. J’ai aussi le projet de faire de l’apiculture, j’ai un peu regardé mais j’ai besoin de plus creuser. ​

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Et pour la suite alors, c’est quoi le projet ?

Je vais quasiment deux mois aux Etats-Unis voir ma famille. Puis je vais déménager au Vietnam, où j’ai également de la famille. Je vais poser toutes mes affaires là-bas. Mais je veux aussi aller voir ma fille en Thaïlande. Il y a un bus qui relie le Vietnam et la Thaïlande, en passant par le Cambodge. J’ai envie de le prendre et de faire ce périple. Je connais des personnes là-bas qui pourront m’aider à m’intégrer dans la vie locale. 

En Thaïlande et au Vietnam j’aimerais être actif sur des thèmes qui me sont sensibles. Par exemple, donner des cours de français à des enfants qui ont des difficultés ou qui ne sont pas scolarisés. J’ai envie que ça soit un petit plus pour ces enfants. J’ai vu des associations qui le faisaient, j’ai fait des recherches et je vais me rapprocher d’elles.

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Interview réalisée en avril 2024

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